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Présentation de Aki Nishiie

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Sujet: Présentation de Aki Nishiie

Dim 15 Oct - 14:56

Aki Nishiie
Aki Nishiie
N : 61 Or 1138
dossier de personnage
Métier: Guérisseuse
Classe: Soigneur
https://bariande.forumactif.org/t180-aki-nishiie
Header

Présentation de Aki Nishiie

Informations générales

Nom :

Nishiie

Prénom :

Aki

Âge :

20 ans

Sexe :

F

Origine :

étrangère

Race :

Toi, derrière ton écran

Pseudo / Surnom :

Aki

Prenom :

Laura

Comment as tu connu le forum ?

Pouuuuh alors là c'est dur xD

Des questions ou des suggestions ?

//

Histoire

La petite fille soupira alors que son père la tirait jusqu'à l'école de jeunes fille où il tenait à l'emmener. Elle avait tenté tous les arguments possibles pour que cela n'arrive pas, mais rien n'y avait fait. Elle était la fille du chef du village et reprendrait sans doute le flambeau après lui, voilà tout ce qui comptait pour son éducation. Elle se souvenait encore des histoires que sa mère lui racontait. Lorsqu'elle même n'était qu'une enfant, les clans avaient commencé à se battre pour récupérer la domination du pays, comme souvent à vrai dire, bien qu'une longue période de paix ai précédé cette guerre. Fille du chef de clan également, sa génitrice avait pris les armes, comme tous les habitants et il n'y avait alors pas d'école pour jeune fille, mais une lourde formation au maniement des armes quel que soit son sexe. La guerre avait duré, mais elle avait fini par être gagnée, un des clans les plus puissants, allié de celui de ses parents, avait remporté la bataille et amené la paix dans le royaume. C'était ainsi que le monde d'où venait Aki fonctionnait. Des villages formaient des clans, la famille la plus puissante en était la dirigeante et tous ces clans s'affrontaient régulièrement pour que le plus fort d'entre eux gère le royaume. Mais cela faisait maintenant 10 ans que plus aucun combat pour le pouvoir n'avait éclaté, et la société patriarcale avait peu à peu repris le dessus, laissant les femmes s'occuper des menues affaires tandis que les hommes poursuivaient leur science des armes. Aki était de très bonne naissance et son destin était assuré. Pour peu qu'elle veuille bien se conformer aux traditions, elle deviendrait la femme du chef de clan et tout serait parfait.

Sauf que Aki s'ennuyait. Elle s'ennuyait royalement. Elle ne se reconnaissait pas dans ce destin, ni dans aucun de ceux qu'on lui avait proposé. Elle voulait faire quelque chose de sa vie, quelque chose d'autre que de la figuration. Elle avait du mal à se faire des relations, que ce soit avec les autres jeunes filles ou avec les garçons du village. Il n'y avait sans doute pas de raison particulière à cela ; la jalousie face à sa position, l'envie de faire du mal à quelqu'un … Quoi qu'il en soit, même si ses parents l'aimaient et la soutenait, elle ne se sentait pas heureuse ou épanouie. Son enfance se déroula ainsi, lentement, ne lui accordant que les rares plaisirs d'une balade en forêt ou d'une lecture au coin du feu, plaisirs suffisants pour qu'elle ne se sente pas trop malchanceuse non plus. Au contraire, elle avait tout à fait conscience de sa chance, mais celle-ci ne lui plaisait pas.

Le jour de ses 15 ans, alors qu'elle se baladait entre les arbres, elle reçut un violent coup de bâton à l'arrière des genoux qui la fit trébucher. Ainsi affalée sur le sol, elle se redressa du plus vite qu'elle le put, cherchant son agresseur pour lui apprendre les bonnes manières … ou pour mieux le fuir ! Quelle ne fut pas sa surprise de trouver face à elle un homme d'une cinquantaine d'année, habillé comme un forestier et pourvu d'une longue canne ornée de signes qu'elle aurait reconnus entre milles. Retombant aussitôt à genoux, elle inclina la tête pour saluer l'illustre inconnu qui n'était autre qu'un Druide. Dans son monde les Druides étaient les garants de l'ordre naturel et du bien en toute chose. Ils ne se souciaient que peu des affaires des humains, mais faisaient en sorte que ceux-ci ne provoquent jamais délibérément leur déesse, Gaëa, mère de toutes les mères et protectrice de tous ses enfants. Ils étaient ainsi des personnes respectées et adorées, vus comme les hauts prêtres de la seule religion qui existait en ce monde.

Relève toi donc, gamine.

La voix sèche et dure de son interlocuteur n'appelait pas à la patience et elle dût se faire violence pour ne pas se recroqueviller tout simplement sur elle-même.

Sais tu te battre ?

Non.

Elle aurait voulu en ce moment avoir une autre réponse à lui offrir, car la lueur profondément désapprobatrice qui étincela dans les yeux du Druide la fit frissonner de peur.

Sais tu soigner ?

Non, répondit-elle, les larmes aux yeux, alors que la colère naissante de l'homme devenait palpable.

Un coup violent vint percuter le sommet de son crâne, alors qu'elle baissait les yeux pour ne pas percevoir cette haine, la sonnant aussitôt et la faisant chanceler.

Regarde ton ennemi !

Mais vous n'êtes p …

Un nouveau coup la heurta à l'abdomen, lui coupant le souffle et faisant jaillir des larmes de douleur des yeux émeraudes de la jeune fille. Lorsque le prochain coup fusa, en direction de son épaule, elle tenta de l'éviter, mais le Druide était trop rapide, trop précis et c'est avec un bruit sec qu'elle s'effondra au sol, se mordant les lèvres pour ne pas crier de douleur. Les yeux fermés, elle attendit que son dernier moment arrive, mais il ne vint pas. En lieu et place de cela, une chaleur rassurante se diffusa dans son épaule. Ouvrant les paupières, elle perçut le Druide à travers son voile de larme, qui était en train de la soigner. N'osant poser de questions, elle ne bougea pas. Lorsque la douleur fut totalement partie, l'adepte de Gaea lui tendit une main pour l'aider à se relever.

Tu mérites quelques explications je crois. Ton père et moi avons combattus ensemble, lorsque je n'étais encore qu'un jeune homme, éloigné de la seule vérité que nous dispense Gaëa. C'était un fier combattant, respectueux de la déesse. Il y a des semaines de cela, il m'a demandé un service. Prendre soin de toi. Il m'a dit que tu étais malheureuse, que tu avais besoin d'une raison de vivre … et il m'a demandé de te donner la chance d'en avoir une. Voilà ta chance, gamine. Aujourd'hui je te propose de devenir mon apprentie. Si tu survis durant les deux années que dureront ton apprentissage, tu deviendras une Druidesse et ta vie aura un sens. En tout cas plus que cette existence misérable que tu mènes dans l'apathie. Si tu acceptes, gamine, je ne te soignerais plus jamais, je ne t'aiderais plus jamais à te relever. Tes erreurs, tu les répareras seule, et peut-être que tu en mourras. Si tu refuses, jamais plus cette chance ne te sera offerte. Je n'ai pas pour habitude de prendre pour apprenti des jeunes gens aussi peu dégourdis que toi et c'est un service que je rends à ton père. Si tu meurs, ce sera entièrement sa faute et la tienne, non la mienne. Suis je clair ?

Le cœur battant la chamade, Aki regarda d'un œil attentif les toitures de chaume que l'on discernait encore à travers les arbres, puis le Druide. Son regard dur, sa mâchoire carrée, ses cheveux strictement attachés. Il ne lui ferait jamais de cadeau et il venait de lui dire l'entière vérité. Elle regarda ses mains de noble, jamais touchée par la moindre stigmate, elle pensa à ses livres, à sa mère. Puis elle regarda son futur maître dans les yeux et hocha la tête.

Son maître s'appelait Shi et effectivement, il n'avait pas menti. Chaque jour fut une lutte pour survivre, chaque fois plus complexe qu'avant. Pendant les deux premières semaines, elle dût apprendre en l'observant, car il ne lui dispensait aucune leçon. Plusieurs fois elle dût se passer de feu ou de nourriture, car elle n'avait pas su se débrouiller correctement. Pas une fois il ne lui proposa de partager avec elle. Ils vécurent dans la forêt et voyagèrent jusqu'à arriver au camp où séjournaient tous les Druides et ce fut ici que sa nouvelle vie commença. Tous les jours elle devait passer sa matinée à apprendre. Apprendre les runes, les plantes, l'alchimie, les concepts druidiques … Ceux-ci étaient particulièrement cruels, même si leurs principes étaient simples. Les Druides n'existaient pas. Ils n'étaient là que pour être les instruments de Gaëa, le prolongement de leur volonté. Leur vie était insignifiante et il ne devait jamais la faire passer avant une quelconque cause.

Elle passait ses après midi à s'entraîner, à se battre ou à pratiquer la magie. C'était souvent à ces moments-là qu'elle risquait le plus de mourir, car son professeur ne faisait montre d'aucune pitié et il la mettait parfois face à d'autres étudiants, plus âgés, qui manquaient souvent de lui arracher la tête. Lorsqu'elle trouvait quelques minutes à elle, il fallait qu'elle se procure de quoi manger. Parfois ils s'entraidaient entre apprentis, mais c'était rare, car la sociabilisation n'était pas encouragée et pour cause. Afin de garder les meilleurs servants, les apprentis qui suivaient leur maître depuis le même nombre de mois, s'affrontaient régulièrement durant des tournois et les derniers mourraient en combattants, ou se faisaient tuer. En plus de cela, un conditionnement à la douleur était imposé aux futurs Druides, pour leur apprendre à respecter la vie. On les forçait à tuer des créatures vivantes, lapins, loups, parfois même des humains, puis, pour les punir de cet acte inutile, on les torturait par magie pendant des jours et des jours. Très vite Aki regretta d'avoir accepté. Puis elle ne regretta plus rien, intégrant de mieux en mieux l'insignifiance de sa vie, se laissant détruire par ces concepts abscons et néfastes.

Ce fut une renarde qui la sauva. Certains fils et filles de la déesse n'étaient pas uniquement des animaux, mais des gardiens, prévus pour veiller sur l'équilibre naturel. Ces gardiens se liaient à un arbre et prolongeaient leur vie, parfois jusqu'à des millions d'année, les transformant en « Père de la forêt », des sentinelles, avertissant leur gardien d'une perturbation dans l'équilibre. Lorsqu'une chose pareille arrivait, les gardiens des arbres (car tel était leur nom) devenaient alors de terribles démons assoiffés de vengeance envers la perturbation et prêts à tout détruire sur leur passage. Une des missions des Druides était justement de veiller à ce que cela n'arrive jamais et, le cas échéant, de calmer ces créatures. Mais une jeune gardienne à forme de renard n'appréciait pas plus sa condition que ce que Aki avait apprécié la sienne. Elle ne souhaitait aucunement se lier à un arbre et en devenir dépendant, elle ne souhaitait pas préserver l'équilibre, elle souhaitait juste mener une existence libre de toute contrainte. Cette renarde réussit à s'échapper de l'antre de la demi déesse, Li, qui veillait sur les futurs gardiens. Prise de pitié, la grande mère Gaëa laissa sa fille fuir et empêcha Li de la retrouver, mais ce ne fut pas suffisant. Incapable à cet âge juvénile de se débrouiller seule, la petite boule de poil se retrouva bientôt à l'article de la mort.

C'était sans compter sur Aki, qui la retrouva durant une de ses quêtes de nourriture et qui déploya toutes ses connaissances acquises depuis un an de formation pour la sauver. Petit à petit, la renarde reprit du poil de la bête, mais elle ne se sépara jamais de sa sauveuse. Celle-ci l'appela Mizu, sans jamais savoir qu'elle était en réalité une gardienne des arbres et non une simple renarde blessée. Ce fut la présence rassurante de la boule de poil blanche aux yeux bleus froids comme la glace qui permit à la future Druidesse de ne pas céder face aux enseignements. La renarde en effet, ne semblait avoir d'affection que pour sa protectrice et vouer une haine profonde à tous les autres.

La dernière année d'apprentissage passa et étonnamment, se solda sans le décès de l'apprentie, qui s'était battue bec et ongle pour rester parmi les meilleurs. Entre temps elle avait eu le temps de se lier avec un autre apprenti aussi doué qu'elle, et d'envisager éventuellement de lui demander de fonder un foyer. Après tout, c'était parfaitement autorisé chez les Druides et il était plutôt sympathique ! Mais la nuit de son accession à son nouveau statut de Druidesse, elle subit malheureusement ce qu'elle appellera son « premier transport ». Amenée dans un monde parallèle à cause d'un flash de lumière blanche, elle subit un étrange phénomène, dû à la méprise de l'entité responsable sur ses relations avec Mizu, qui transmis une partie du pouvoir de la gardienne des arbres à la Druidesse.

Sans comprendre pourquoi, Aki se retrouva donc bloquée à l'âge de 17 ans et pourvue d'une essence démoniaque qui la rendait incontrôlable lorsqu'elle était en colère. Qui plus est, durant son apprentissage, de nombreux tatouages lui avaient été apposés, afin de contenir les pouvoirs dévastateurs que lui avaient offerts la terre Mère, tatouages que le transfert avait entièrement effacé. Heureusement pour elle et pour ce nouveau monde, elle ne recouvra ses pouvoirs que petit à petit, devenant doucement plus forte, mais à une vitesse assez sidérante au vu d'autres personnes comme elles qui avaient subi le même sort. Ce monde, fort semblable au sien, était régi par trois dieux qu'elle ne put pas longtemps considérer comme tels tant leur cruauté était grande. Ils forçaient en effet les victimes de leur transfert à leur obéir par l'intermédiaire d'un sceau à leur effigie. Longtemps ballottée entre les conflits de ce monde, elle finit cependant par s'établir. Durant ses pérégrinations avec Mizu, elle avait rencontré une autre créature, fort semblable à la gardienne des arbres, du nom de Mune et à l'apparence d'un louveteau, avec lequel elle passa un serment magique. Le groupe de trois finit par rencontrer une jeune homonculus du nom de Orina, que la Druidesse pris sous son aile, même s'il fallait pour cela vivre avec un vampire acariâtre qu'elle ne supportait pas. Le temps passant, les deux animaux, la Druidesse, l'homonculus et le vampire commencèrent à former une famille, à tel point que les deux adultes se fiancèrent, par un amour inattendu.

Nul doute que les péripéties qui se tramèrent dans ce monde serait passionnantes à raconter, à base de guerre terrible, de mort de meilleures amies, de grand méchant, méchant parce qu'il est méchant, mais la conclusion qui est à retenir, est que durant toutes ces aventures, la jeune femme perdit en naïveté et gagna beaucoup en détermination. Elle trouva également un sens à sa vie, en la présence de sa famille, qu'elle se sentait le devoir de protéger envers et contre tout. Bien que le premier transfert l'ai arraché à toute son ancienne vie, ce nouveau monde lui avait donné beaucoup plus qu'il ne lui avait pris. Elle était devenue puissante, respectée et aimée, elle avait des projets, un avenir … Tout cela lui serait une nouvelle fois arraché.

Description physique

Aki est une jeune femme d'origine clairement asiatique qui a l'air de ne pas avoir plus de 17 ans. En réalité, elle en totalise 21, malgré ses 1m57 à tout casser et sa corpulence frêle. Elle arbore une immense tignasse rousse, dont la couleur tendrait presque vers le rouge, à l'opposé total de ses yeux verts émeraudes. Sa peau très pâle est ornée de quelques grains de beauté autour du nez. Un unique tatouage orne son nombril, aux formes alambiquées, symbole druidique qu'elle avait fait tatouer à nouveau après qu'il eût disparu. Elle possède quelques cicatrices, mais aucune n'est significatives ou particulièrement voyante. Elle les tient des divers combats qu'elle a dû mener par le passé, à l'époque où ses pouvoirs de guérison n'étaient pas suffisants pour effacer ce genre de stigmates. Sa démarche semble très souvent mal assurée, presque un peu trébuchante, pourtant, dès qu'elle rentre dans une situation plus dangereuse, celle-ci devient décidée, souple et discrète. Elle s'habille souvent de manière simple et pratique, que ce soit dans la vie de tous les jours ou en situation plus exceptionnelle. Elle n'a que peu de fascination pour les tenues clinquantes et superbes, à moins que l'occasion ne le mérite vraiment et cela pour la raison simple qu'elle ne cherche pas spécifiquement à attirer l'attention des autres avec son physique, ne se maquillant jamais et s'apprêtant encore moins.

Description psychologique

Effleurons la surface …

Si Aki devait définir ses principes moraux, elle citerait bien évidemment l'altruisme, le courage et la bienveillance. Elle tente de se conformer à chacun d'entre eux du mieux qu'elle le peut, semant l'espoir là où il n'y a que le mal. Elle ne pardonne pas le sadisme, l'arrogance ou l'égoïsme extrême, qu'elle condamne en tout points et qui la mènent souvent à des décisions radicales. Aki est malgré tout quelqu'un de foncièrement gentil, doux et attentionné, à l'inverse, elle reste naïve, colérique et parfois légèrement orgueilleuse. Consciente de ses défauts, elle essaye constamment de les régler et sa naïveté comme son orgueil en avaient déjà pris un sacré coup par le passé. Elle apprécie particulièrement passer du temps avec les gens qu'elle aime, nouer de nouvelles relations, manger, lire et vaquer à des occupations banales qui la détendent. En revanche, elle ne supporte pas de devoir prendre des décisions trop complexes ou tuer quelqu'un, même si cela semble être la meilleure solution sur le moment. Sa notion de Bien et de Mal est en constante fluctuation, considérant elle même qu'il s'agit de quelque chose de très abstrait, elle essaye pourtant de s'en tenir à deux règles simples « Il est mal de causer de la souffrance sans une raison suffisante et il est bon d'empêcher quiconque de faire ceci quels que soient alors les moyens employés» . De même, elle se fiche de l'Ordre ou du Chaos tant que ces principes fondamentaux sont respectés. Elle ne respecte d'ailleurs que peu l'autorité qu'on lui impose sans en connaître la raison, accordant cela à la sagesse et à l'intelligence lorsqu'elle les reconnaît chez quelqu'un. Face aux traditions, elle ne pose qu'un œil interrogateur, s'interrogeant souvent sur leur intérêt.

Elle est particulièrement terrifiée d'être privée de sa liberté ou de son libre arbitre, ou, pire encore, de perdre ou de voir souffrir les gens qu'elle aime. Lorsqu'elle se morfond dans ce genre de crainte, il est assez facile de lui remonter le moral en rencontrant des gens qu'elle apprécie, par exemple. En revanche, elle n'éprouve aucune fierté pour le bien qu'elle a déjà pu faire, se tenant aux anciens préceptes druidiques qui l'empêchent de se considérer autrement que comme une personne exécutant son devoir. Ainsi, elle serait prête à sacrifier sa vie pour bien des causes, pour sauver quelqu'un qu'elle ne connaît pas, ou même parfois pour avoir juste une chance de le faire. En revanche, l'argent ne l'intéresse pas le moins du monde, ses talents de guérisseuse le rendant pour elle facile à gagner, tandis qu'elle cherche tout bêtement à rendre le monde meilleur, ce qui ne se fait assurément pas avec des pièces de monnaie. En dehors de cet idéal bien naïf, elle rêve de pouvoir un jour fonder une famille, s'établir et ne plus se soucier de rien d'autre que des gens qu'elle aime. Chaque jour, elle lutte pour devenir meilleure encore, sans vraiment penser qu'il s'agit d'autre chose que de sa nature profonde. L'opinion publique l'importe peu, bien que parfois certaines rumeurs puissent la toucher, particulièrement si elles sont complètement fausses.

Creusons un peu ….

Pour ce qui est de l'amour , Aki ne s'intéresse qu'aux hommes, elle n'a jamais éprouvé d'attirance pour les femmes et ne s'est même jamais posé la question. Son cœur appartiens en ce jour à un vampire avec lequel elle s'était fiancé, qui ne correspondait pourtant absolument pas à l'idée qu'elle se faisait de l'homme idéal. Arrogant et souvent égoïste, son humour et sa gentillesse bien dissimulée avaient tout de même finis par convaincre la Druidesse. Son rapport à la sexualité reste très complexe, ne l'ayant découvert que très tard et ayant subi de sombres affaires plus tôt dans sa vie … A l'inverse, elle s'accorde parfaitement aux schémas traditionnels du couple, souhaitant se marier et avoir des enfants.

Elle ne saurait pas dire si elle est chanceuse ou malchanceuse, ne considérant pas cette notion comme existante. Elle préfère se dire que chaque chose qui se passe est la résultante d'actions d'elle même ou d'autres personnes et que la bienveillance de sa déesse finira par ramener les choses dans l'ordre quoi qu'il se passe. Elle se recueille à chaque fois qu'elle tue un être vivant, ou qu'elle en ressens le besoin, ce qui lui semble être le minimum pour honorer Gaëa, sa déesse. La vie humaine ou animale est pour elle le bien le plus précieux et le plus sanctifié, que l'on ne doit enlever qu'en cas de nécessité stricte.

Autres détails importants

Arme(s) et Pouvoir(s) :

Aki possède un arc gravé de rune mais elle se bat majoritairement avec sa magie : elle utilise des pouvoirs de soin mais également une maîtrise de la nature et sa capacité à créer du feu. Un de ses pouvoirs phare est de pouvoir se transformer en une créature dont elle a capturé l'essence, soit gagné un combat mental contre elle. A son arrivée, ses essences sont toujours en elle mais terriblement difficile à récupérer. On peut noter que ses transformations favorites sont en renard ou en loup (roux), même s'il lui arrive parfois pour se battre de choisir une des deux formes draconiques qu'elle a réussis à obtenir par le passé, lorsqu'elle était au summum de sa puissance :
Spoiler:

Familiers(s) :

Aki possède deux familiers : Mizu, une renarde blanche aux runes bleues et Mune, un renard blanc aux runes vertes, ils sont tous les deux des "gardiens des arbres", ils ressemblent à de petits bestioles inoffensives mais peuvent se transformer en démon destructeur.

Autre(s) possession(s) :

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